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Article publié le 21 avril 2013. oOo Semailles et pantalons sur un plancher avec ses cornes dit-on et dites d’abondance est un commencement. Un début peut-on dire aussi. Un incipit. Et rien qui ne viendrait qui soit le seul chemin le sens à enfiler. Le pré enfile ses semailles son plancher. Corne son abondance le pied au plancher vers un commencement comme écrire : enfilait un jour son pantalon sur toute la ligne sème son début à l’excès de vitesse d’un pré ou plancher. Encore faudrait-il que quelqu’un soit semé qui ait un pantalon à remplir de son moi. Pour être l’incipit vers son commencement tout rempli de sa fin. Semailles dans un pantalon à enfiler une jambe après l’autre celle du plancher qui corne l’abondance du chaos parlant. Et les traces fuyantes du ravin semées à enfiler avec la corne d’abondance se timbrant le style auguste « du semeur ». Commencement de vie cet incipit de toute vie à enfiler pied au plancher vers l’incipit de l’incipit à l’infini qui est la vie. Ne récoltant qu’un pantalon en confection de Moi pour en changer.
La pièce de vingt sous se dresse comme une reine Benjamin Péret |
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