"La gloire, ce sont les portes du destin". S.P
Dans le repère orthonormé que constituent l’espace et le temps, au sein de l’entité spatio-temporelle sans cesse en mouvement, en transmutation, se déversent le flux ou flot narratif et sa puissance.
L’insertion de la gloire s’effectue dans les nervures du monde. Dans son métabolisme.
C’est l’immensité d’architectures narratives monumentales qui occupe le plan désormais, ainsi que leurs textures cognitive, stylistique, formelle.
L’innovation répand toute son agressivité pour remodeler le cadre ou décor existant, pour le transformer à son image.
Ni l’organique ni le divin n’ont leur place, ici.
Le concept d’illimité a désormais toute sa place, puisqu’il devient le monde même. Et son développement rapide aboutit à des formes qui se régénèrent en permanence.
Jusqu’à dresser de nouvelles architectures narratives qui seront bientôt obsolètes. Dont les fondations seront figées par le temps, synonymes de vestiges.
La perfection momentanée de leur géométrie contient en son sein toute l’épaisseur du silence. Et tout l’écho du monde.
Seul l’horizon, étale, est capable d’accueillir leur démesure. Jusqu’à saturation.
Jusqu’à l’adoubement du destin...