Le temps s’écoule au sein de la double contrainte : celle du travail et celle de l’écriture.
Chronos se dissout dans le travail et la création. D’un double travail, en somme, tout sauf gémellaire. Mais dont le dénominateur commun est bien la règle. La direction à suivre.
Puis, le travail au sens classique du terme se dissout à son tour pour libérer l’espace-temps, totalement, ce dernier se trouvant absorbé par la création.
Discipline, rythme, énergie... travail, otium, état.
Démesure. Naturelle.
Toute contrainte est littéraire, désormais.
Et l’espace du trepalium est sans limite.
La densité des semaines passe, succédant à une autre qui lui ressemble, étrangement.
Et l’œuvre apparaît, ainsi, le totem littéraire s’érige, ayant enfin conquis sa place pour se déverser dans le monde à l’intérieur duquel son embryon ne demandait qu’à croître.
Ainsi naissent les domaines littéraires.