L’élection du prototype vient de l’invisible et fait intervenir la métaphysique. Oui, cet arbitraire est absolument contingent.
La notion de talent ou de don succède à la matérialité de l’élu. A sa visibilité. La machine et son coeur ou le capital de recherche est à l’intérieur. Là, quelque part. Ou plutôt partout.
Transcendance, talent ... auxquels succède le trepalium.
Le labeur.
Le travail.
Patine inlassable de la rigueur. De la discipline. De l’abnégation.
L’oeuvre, aussi, s’érige. En monument.
Le cursus du prototype connaît de permanentes mutations qui étendent son oeuvre, qui étendent son influence. La conscience de son histoire, de ses racines précédemment évoquées en fait un créateur singulier capable d’aller jusqu’au bout de ses recherches. D’exploiter la totalité de son énergie.
Pour apporter, au bout du compte, un nouvel édifice à la littérature ... qui servira à une extension plus large de la discipline.