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![]() oOo Telle des nuages sans le ciel pour les martyriser sa joie devient rouge comme une écrevisse plongée dans l’écriture. Parfois survient une lumière dans le gris des pensées et le vase dit sa chance à la fleur. Les engins débraillés du long feu de sa vie font un bruit de paupière. Sa tête parcourue fredonne sa poussière et la sainte charpie des lignes qui s’allongent. Il nait un caillou au moment précis où le pied s’aventure et où tant d’éloignements ont cours sur la pensée. On ouvre le dehors dans les bras du dedans endossant la Caspienne d’un golf propre et frais pour écrire à d’imprévus lointains qui jaillissent. Et le clavier est sur la table tête nue et autant que possible le plus bas. On a vue sur un terrain vague approprié envahi de machines qui parlent nous ruralisant à la nouvelle boue.
quel est le corps qui et là-dessous, qui a vécu là-dessous ? Henri Michaux |
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