Perpendiculaire du paysage, sais-tu
quelles lignes bornées tu t’octroies, indisponible
quand la vie est faite de lignes téléphoniques ?
Je ne le souscris rien. Mais je ne puis
interférer avec ces algues ! Je
resterai devant l’embarcadère
à décrire le belvédère, à vanter les atouts
de la rosée. On me demande pourquoi faire. Je réponds.
"Oeil,
oeil percé par les travers
de mille aiguilles, tu connais
la nullité des rituels,
sache
le chaos des nudités
les plus intimes."
L’oeil se plisse comme un être de lèvres
(et seulement de lèvres). Mais - et
toi, monument arc-bouté - que me
conseilles-tu
en ces temps de disette ?