« Une poésie humaine, émouvante, d’une violente sincérité… ». Ce sont les mots écrits parChristophe Charlesà propos de l’écriture deMario Malivert, en 1982. Ces mots sont toujours d’actualité.
AvecLa tête chauve des mornes, le poète capte le vécu haïtien tant dans sa précarité que dans ses soubresauts sublimes. Pour lui l’érosion des terres cultivables due au déboisement systématique symbolise l’état de faillite de son pays. Mais il veut garder l’espoir.