D’origine italo-péruvienne, Gina Celi tombe amoureuse de la langue française dès son arrivée en France en 1991 à l’âge de 25 ans. Diplômée de l’École de langues et civilisation française de l’université de Genève, elle s’installe dans l’Ain où elle partage sa vie entre sa famille et l’écriture de contes philosophiques et de poèmes d’amour, des « instantanés photographiques » de son histoire et de ses états d’âme.

De nature optimiste, fidèle aux valeurs qu’elle a reçues et qu’elle désire transmettre, elle pense que seules la simplicité et la nature peuvent garantir l’évolution de la civilisation et poursuit sa quête d’authenticité en flânant dans les rues, sur les marchés, les centres commerciaux, son appareil photographique à la main. Et si les contes populaires incas qu’elle réinvente à ses heures perdues font la joie de ses proches, les différents niveaux de lecture de ses contes philosophiques invitent, quant à eux, à la méditation sur les valeurs humaines et le sens de la vie.

Ses poèmes, plus intimistes, inspirés de la poétesse et féministe chilienne Gabriela Mistral, premier écrivain d’Amérique latine ayant reçu le prix Nobel de littérature en 1945, sont une ode à l’amour, à la liberté, au désir, à l’harmonie intérieure.

Gina Celi est aussi une grande admiratrice de son compatriote Mario Vargas LLosa, couronné par le prix Nobel en 2010.