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 Article publié le 8 septembre 2013.

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J’arrive tôt et je gare ma voiture tout contre la haie et je sonne. C’est madame Temeur qui vient m’ouvrir en mêlant sa voix aux aboiements des chiens. Nous vous attendions un peu plus tard mais c’est encore mieux ainsi. Formule de politesse cachant un reproche ? Peut-être mais l’hôtesse est charmante et souriante comme un lac tranquille au petit matin avec quelques pêcheurs sur ses bords. Avant de continuer, je tiens à expliquer les raisons de ma visite aux Temeur. Je suis un écrivain qui écrit des romans dits policiers. Je trouve cette appellation quelque peu pléonastique, mais il est vrai que je fais souvent dans le crime. Mon dernier né s’intitule « Dans la haie » où il est question de viols, de paupières et de roses, avec tous les détails les plus lyriques. Mon prochain est en fait à écrire, et selon ma manière je n’ai aucun argument de départ. J’avais besoin d’un lieu calme, mais je voulais qu’il soit habité par un couple, si possible déjà marié depuis quelques années, et j’ai trouvé les Temeur par annonce. Je ne tenais pas à les connaître avant, respectant la aussi ma méthode de partir de l’inconnu. Bien sûr je sais déjà qu’il s’agira d’un double assassinat sans autre assassin que les victimes elles-mêmes. Mais je sais aussi que les assassins des romans ne sont jamais les vrais. Je leur ai demandé d’être les premiers auditeurs de mon récit aux Temeur veux-je dire. Donc me voici chez eux. Leur habitation est telle que je les aime, encombrée d’objets, tous plus inquiétants les uns que les autres, à cause de leur inutilité d’abord, et parce que souvent dans l’ombre des autres, ils semblent se jalouser comme se jalousent des fantômes. J’avisai en premier, allez savoir pourquoi, la nappe de la salle à manger. Une énorme nappe à carreaux rouge et blanc, de telle sorte que je sus immédiatement qu’elle recouvrira la table des matières de mon prochain livre. Que dis-je ? elle sera que je le veuille ou non au centre de mon futur et imprévisible récit.

Monsieur Temeur est un bel homme un peu chauve, d’un âge sensiblement le même que celui de sa femme, dans les trente à trente cinq ans et quelque chose de trouble dans le regard. J’ai presque envie de dire dans la piscine de son regard. C’est ce regard qui me fit consulter sans plus attendre le regard de son épouse où je distinguai une indéfinissable palpitation comme un beau plumage aux aguets dont on sent jubiler comme un futur envol. Je sentis cependant que les deux regards se complétaient de telle façon que je ne saurais dire l’inquiétude ressentie à cette conjonction prématurée. Leur accueil fut charmant et jusqu’au soir je répondis à maintes questions de celles qu’on pose le plus souvent à un auteur. Oserais-je dire que les leurs de questions furent vraiment et curieusement particulièrement intéressées

Tout à coté d’une fenêtre du salon, une cage d’inspiration mauresque émit un clapotis avec piaillements qui me fit m’approcher, guidé par un petit rayon doré et dur immiscé entre les plis transparents d’un rideau. Un canari d’un jaune insolent s’ébattait dans sa baignoire en verre, éclaboussant sa cage avec sa mécanique en folie. Il poussait des cris qui ressemblaient aux appels au secours d’un noyé, ou à ceux que feignent les jeunes baigneuses dans une piscine afin d’attirer le regard des garçons de bain, qui veillent au grain. Un de mes amis m’assure que parfois les oiseaux captifs se noient allègrement en se baignant. Il s’appelle Fifi, me dirent presque en même temps monsieur et madame Temeur. Ils éclatèrent de rire et je sentis passer quelque chose, comme une odeur de fatalité et de complicité à la fois forcée et consentie, cependant que les deux regardèrent un bon moment l’oiseau avec une insistance qui me glaça.

La chambre où ils me logèrent, était à la fois confortable et agréablement meublée. Le lit me sembla correct. Une table assez large me permit d’installer mon chantier d’écrivain somme toute, assez restreint. Celui de mes assassins de papier l’est tout autant : une chambre, une salle de bain, un appentis de jardin, une serre à tomates, un rayon de fruits et légumes, le plus souvent un lieu agréable et fermé. Les chantiers en forêt ou en haute montagne me semblent des chantiers pour des meurtres sans joie, mandatés et utilitaires, sans passion. Je m’étendis sur le lit bas et mol où je m’endormis aussitôt.

 

Des bruits rôdaient dans la maison, félins et sournois, transperçant le rêve qui sentait déjà la fourrure épaisse d’une orchestration composée d’éléments, dont la chimie baroque précipite un lieu authentiquement juste. Ces considérations sur le rêve, je les fis bien sûr entre deux eaux. Au réveil elles me feront l’effet d’un idiome burlesque. La longue chevelure flotte et palpite au rythme des petites vagues lilliputiennes qui déforment les petits carreaux rouges et blancs qui dessinent le fond ou peut-être qui se reflètent du plafond dont les paupières sont cette palpitation elle- même et je sais que je rêve et que bientôt je ne saurai plus que je rêve et que tout me semblera réel. Mais décidément je ne dors plus, et je regarde revenir la chambre autour de moi, j’entends les bruits redevenir quasi identifiables, et chose inévitable, je sens que mon roman va me tarabuster la tête et donner du talon contre cette paroi où il se forme comme un couple de jumeaux pardon du pléonasme. Je résiste à imaginer le moindre scénario, la moindre intrigue cette nuit ça vient trop tôt c’est mieux ainsi dormir et tout remettre après avoir tout observé tout raccordé l’oiseau les carreaux le rayon dur et froid cette complicité cette odeur de fatalité érotique et voulue l’œil qui tord le poignet du sort indubitable et Ce bruit de voix dans ce silence entre deux eaux, sommeil et non pas veille, mais cette vigilance d’être en perpétuel affut de quelque indice, quelque preuve et le choix des victimes et celui des assassins. Ce bruit de voix qui dirait-on s’affûtent dans l’excitation. Ils rejoignent leur chambre dont je n’ai aucune idée d’où elle se trouve dans cette maison. Les pas s’éloignent, mais j’ai la sensation absurde qu’ils s’approchent d’une pièce en moi où un secret se cache. Le bruit disparu, il reste comme un lourd et sombre poids de mots qui respirent dans l’ombre. Une pendule met un lieu commun dans cette description dans laquelle je me noie et sombre jusqu’à l’aube.

Avez-vous bien dormi ? me demande madame Temeur déjà levée, lavée, peignée, coquette et frauduleuse. Le mot m’a échappé à l’instant où le canari vit le rayon passer et répondit pour moi avec un petit cri : Très bien merci madame, vraiment tout comme un ange. Je la vis frémir de l’épaule et du buste et d’une voix flûtée et dirais-je mesquine : Prenez votre petit déjeuner tout seul, mon mari et moi avons à faire des emplettes au drug store à coté. Pourquoi préciser à coté ? Pour me faire entendre que je n’aurai pas le temps de perquisitionner la maison ? Pour me dire que leur présence est devenue désormais nécessaire à mes cogitations ? Nous sommes en quelques sortes vos inspirateurs, monsieur le romancier, semble me suggérer : à coté. Je dévorai bien sûr le breakfast très copieux préparé par madame la muse qui, sais-je pourquoi, m’inspira le vocable frauduleuse dont j’imaginai le corps en italique. L’image d’un seul coup, du mot en italique répétai-je en moi avec une tartine. La cuisine était vaste avec de beaux couteaux luisants contre les murs. Des couteaux à préparer volailles et gigots, à inspirer les romanciers de policiers, à distraire les romanciers qui ont un nouvel ours à faire danser, et qui se sont réfugiés chez l’habitant pour l’accoucher. Le réveil s’affinait jusqu’à cette inquiétude qu’un jour n’est que le remplaçant du précédent, innocent et puceau et qui devra passer entre des mains coupables. Coupable est le mot clé dans un polar, bien sûr et victime est un mot serrure. Un beau meurtre a les reins cambrés et bronzés, et les belles et longues jambes d’une actrice de film érotique. Le lecteur prend la place et les armes du policier et celle du légiste en blouse blanche et rouge (de sang bien entendu), penché sur le corps délicieux du délit. Le canari piaillait selon son habitude et les Temeur tardaient à coté. Je baillai.

Leur retour fut discret, ou du moins je le ressentis plus discret qu’une arrivée normale. Leur discrétion était comme une anomalie. Ils revenaient chez eux, après tout, et rien ne justifiait une telle précaution. Ils déposèrent leurs emplettes sur la table et je proposai de les aider pour le repas. Ils m’avaient proposé de prendre mes repas avec eux tout le temps de mon séjour, et bien sûr, je devais payer mon écot. Durant le diner, je remarquai les coups d’œil des époux et fus passionné par ces échanges coupants et rasants comme autant de coups d’ailes sur une eau inquiète. Inquiétude chargée d’attente me semblait-il et je ne pus savoir si cela se passait en moi ou si j’étais témoin de quelque chose de réel qui se passait entre eux. Même la nourriture me paraissait ma propre chair, mon propre sang dont nous trinquions dans des sourires cristallins et délicats comme des coupes de Bohême. Ce qui s’échangeait entre eux était pour ainsi dire en train de s’imprimer en moi, je percevais comme un affût, vibrant dans l’air musqué, et l’odeur du gigot. Cette odeur de musc semblait émaner d’entre leurs paupières à chaque œillade qu’ils se lançaient. Une odeur charnelle devant un danger moins craint que désiré. Je pensai à cette expression : un regard assassin. Je raffinai quant à moi et murmurai : une œillade tueuse. Le bec du canari devint soudain énorme et d’un noir extra noir poussant un jaune cri. Je titubai en moi et je les vis tous deux dans un brouillard hilare et un peu effrayant. Leurs dents étaient d’un blanc éburnéen qui rappelait les descriptions des demeures des Atrides. Je les priai de m’excuser et je quittai la table du festin tel un fils de Pélops pressentant un quelconque dessein.

Arrivé dans ma chambre, je m’apprêtais à commencer le premier chapitre de mon roman, quand j’entendis des rires hystériques et des bruits de meubles qu’on déplace et de vaisselle qui tombe. Ces rires se transformèrent en gémissements, en jérémiades plutôt. Puis ce fut le silence. J’avisai sur une petite table de maquillage pour femme, placée comme à dessein dans un coin de la chambre, une minuscule paire de ciseaux à ongles, qui me fit aussitôt penser au mot cyanure. J’avais déjà pensé que mon héroïne assassinerait son mari avec ce type de poison. Je souris en songeant que le mot seul suffit dans un livre pour trucider quelqu’un. Il me sembla entendre un léger frôlement derrière ma porte et je tendis l’oreille il nous observe et le voici aux aguets un léger frôlement sur la page il prend des notes et n’a pas encore commencé à écrire le jour se remplit de mots plus comment dire oui comment dire et se donne un répit nous laisse agir en lui venir lui chuchoter la petite commode avec un léger trouble et les bruits les barreaux de la cage Fifi le plongeoir de sa langue tremble sous le poids des phrases et le plongeon Lui c’est par la noyade qu’il sedébarrasserait de sa femme, laquelle a déjà versé le mot cyanure le mot ciseaux les mots Il hésite il se trouble la chambre murmure à son oreille et chante mon petit oiseau et tintent les barreaux de la cage des lignes plonge et nous écoute en ce moment il qui nous choisissent nous font dévier de nos premiers projets, nous projettent à coté nous font dévier, je n’entends plus que furtivement des pas, des murmures comme dans toute habitation et bien souvent ils paraissent flous. Non pas les pas mais les Temeur. Ils paraissent parfois ne pas être présents, ne pas exister vraiment, hésiter. Leurs regards, comment dire…  

Les squales de leurs regards évoluaient dans une eau grise et pleine de duvets. Une petite échelle de plastique rosâtre évoquait le trophée d’une jeune mariée. Des paupières battaient avec un bruit de bec. Toute la maison avait des soubresauts et des frissons comme si elle se caressait dans un bassin. Mes doigts cherchaient les touches d’un clavier qui se dérobait comme un voleur. J’étouffais entre des draps trempés comme un cerveau. J’entendis cette phrase : Trempés comme un cerveau. La nuit était épaisse avec des algues gluantes qui me caressaient les tempes comme des phrases mal formées mal caressantes pleines d’arrières pensées pensais-je hors de la veille et du sommeil en mal d’innocence et parfois ils semblaient se Que faire avec ce couple de mon roman ce couple qui cherchait comment s’éliminer comment le plongeoir de leur piscine remuait palmement quel drôle de palmement tiens tiens j’invente un mot nouveau : un exote des termes dirait Segalen, ce roman est perturbé par mes amphitryons ils me mangent les mots me forcent à en faire les héros du livre que je n’écrirai que quand j’aurai percé leur mystère à tous deux La pendule résonne dans tout l’aquarium et fait bouger les voiles de l’air réchauffé par un halètement qui vient de la partie reculée et intime de la maison les parties intimes de la maison d’où arrive une odeur de musc et de sang frais, de mots inarticulés et faussement nimbés de tendresse et d’amour l’oiseau disons exote canari s’ébroue dans ce pâtis de mots cette brume indécise de mots et de propositions de récit d’un assassinat d’un couple par lui-même, dont les motifs sont troubles et de plus en plus troubles au fur et à mesure que

 

Le canari s’ébroue dans sa mangeoire et son plongeoir à lui, sont sa faim et sa soif et l’élimination des parasites qui lui donnent envie de s’ébrouer, comme dans la chambre des Temeur, qui font le moins de bruit possible, le moins de rhétorique possible dans les ébats conjugaux, pour ne pas alarmer leur hôte et pourtant suffisamment pour qu’il soit convaincu de leur intimité et de leur bonne entente amoureuse. Cependant si clairement, qu’il comprenne que c’est pour lui donner le change alors qu’ils fomentent un coup meurtrier sur leurs personnes et ce, en toute intelligence.-« Si tu touches à mon canari dans son carré blanc, je veux voir ton oiseau baigner dans le rouge carré de ton sang » menace l’épouse à l’époux. Je tiens peut-être là mon sujet : le mari noie sa femme dans la piscine alors que sa femme l’a empoisonné avec du cyanure ou lui a coupé le sifflet pendant leurs ébats dans les plumes Il reste le motif à trouver. Un amant ou une maitresse, un crime passionnel ou un motif moins noble du genre assurance. Le polar classique. Plutôt non plutôt du genre, plus moderne, victimes sans meurtriers ou l’un dans l’autre. La nuit est interminable, j’écrirai jamais ce truc jamais ce truc Les algues de la nuit se font de plus en plus pressantes madame a les mains longues comme sont les palmes et ses lèvres de plus en plus mouillées en forme de poissons monsieur est tout en profondeur et en chant de sirènes la nuit sent le sombre et le squale et la nuit cette interminable minable complice de mes vieux desseins mes doigts dans les clavicules sombres du mystère Un bruit de pas dans la maison, des pas furtifs ou c’est une illusion ? La nuit est épaisse avec des algues gluantes qui me caressent elle descend lentement lentement et s’enfonce lentement lentement dans l’ombre bleue et glauque de l’escalier qui l’enferme lentement dans ses eaux.

Le matin, mes hôtes sont levés, j’entends les casseroles tinter, les hachoirs, hacher, et par-dessus tout ça, le couple, murmurer. Les murmures parfois se font plus sifflants. Du moins me semble-t-il. Des griffures, ou se sont des couteaux qu’on affûte. Une odeur de café monte jusqu’à ma chambre. Je m’habille en hâte et je descends. Mes hôtes sont charmants, trop charmants. Il règne quelque chose d’indéfinissable. Les yeux de la femme sont comme un duvet mouillé un peu rigide. Ceux de l’homme ont un fond mouvant avec des ombres. Parfois c’est tout l’inverse. Les yeux de la femme sont les yeux de l’homme et les yeux de l’homme ceux de son épouse. Le petit déjeuner était exquis. Nous échangeâmes des propos sur le roman et ils me demandèrent si j’avais commencé mon livre. Je répondis que peut-être je le commencerai demain, arguant de la fatigue du voyage pour venir chez eux. Le mari me dit son goût pour les romans noirs et pour « la clé de verre » en particulier. Je partis sur le roman policier moderne, et la matinée se termina de façon plutôt charmante, et je crois même qu’y participa ce quelque chose d’étrange entre eux que je sentais comme un parfum subtil et délétère. La cage du canari émettait cliquetis et bruits d’eau avec de temps en temps un chant tout ébréché et criard. ils partirent aux commissions à coté et je me proposai de commencer mon livre, car le titre me fut soudain révélé. Je l’intitulerai « à coté ».

À peine venais-je de commencer de brancher mon portable, qu’on frappa à la porte. C’était madame Temeur, mouillée des pieds à la tête qui me dit qu’elle venait de tomber dans sa piscine et que son mari était parti seul au drug store d’à coté. Elle semblait être au bord des larmes. Je la consolai de mon mieux et je sentis un rien de moquerie derrière ses larmes. Elle s’inquiéta de savoir si le canari était bien vivant dans sa cage. Décontenancé par cette question, je lui répondis que je l’entendais bouger dans sa cage et faire ses ablutions avec vigueur. Son visage s’éclaira et de but en blanc me dit qu’elle allait se sécher et changer de vêtements. Tout de suite après qu’elle fut partie dans la salle de bain, un policier vint nous avertir qu’un homme gisait devant la maison, la gorge lardée de coups de couteau ou plutôt reprit le policier, à coup de petits ciseaux comme ceux d’une dame, et il ajouta : « Et quand je dis la gorge… » Il reprit en disant que le commissaire connaissait le monsieur et que c’était le propriétaire de la maison. Je montai prévenir madame Temeur. Elle gisait morte dans sa chambre et le légiste fut formel : morte par noyade.

Le canari fut retrouvé dans sa baignoire raide mort et je regardais la cage dont les barreaux formaient de délicates lignes d’écriture, car de petits morceaux de nourriture s’étaient collés après en évoquant des mots dans une phrase. Je tenais mon sujet. Monsieur et madame Temeur me firent cadeau de la cage sur ma demande, bien étonnés d’une part, de mon départ avancé, et de l’incongruité d’une telle fantaisie.

Après que je l’eus repêchée dans la piscine, je la montai dans sa chambre et tentai de la ranimer par un bouche à bouche qui fut délicieux. Mais il était trop tard. J’attendis le mari qui devait rentrer d’« à coté » et j’avais les ciseaux à ongles de sa femme. J’étais prêt à réaliser son vœu le plus chéri.

Les adieux furent assez amicaux et ils me dirent que si j’avais un autre livre à écrire, ils seraient heureux de me recevoir, mais pour un temps moins court. Je dus leur avouer que cette fois ci, je m’étais contenté d’une courte nouvelle.

 

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