Ce que suscite la plastique est incommensurable : au-delà des observations subjectives, par-delà les données objectives, l’apparence de l’autre provoque en soi la mobilisation du métabolisme, en premier lieu le champ oculaire, au travers duquel se diffuse l’altérité et ses formes.
Tout est dit, tout est entier ou total de par la projection du derme et de ses caractéristiques dans l’espace.
La présence est déjà un langage qu’il faut décrypter, la présence des apparences projette son rideau qui est bien plus qu’une interface entre soi et l’autre.
Frontière d’entre les frontières d’où s’échappe le sens et son dépassement, miroir mouvant synonyme de séduction, d’interpellation, d’admiration...
Poussé à son paroxysme probablement, en étant la surface de prédilection du déclic photographique dont le dessein est de figer l’angle le plus esthétique de la beauté.
De la mettre particulièrement en exergue, en un mot...