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Article publié le 27 septembre 2020. oOo L’huis de la haie qui grince, et le feu Qui brasille de baies-, plume et bec Dans l’ivresse de l’air et cette fauverie D’angles sur le trop-bleu des horions forcenés Que la pensée s’inflige, les saveurs féroces Des éclatements et des égouts de l’ombre Aux écarts veloutés-, et les gangs de santé Qui saignent aux parterres, les etcetera Du corps dans la musique agaçante de tout Cet embrouillamini qui vole, rampe, mue Et fait fumer un grog de sentes excessives Aux portes des orages, s’enfler les égouts De la beauté parmi les soies démesurées Que moire un pot-pourri d’extase et de marée. |
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