|
Navigation | ||
Le récit ruisselant (Pascal Leray)
16-Qu’on se complaît ô plat
[E-mail] Article publié le 6 septembre 2020. oOo Les accointances de ma rêverie avec une certaine condition austère et sidérante et métallique donc sidérurgique - Sont des mots oui simplement des mots qui prient A plus n’être entendus - - - ------------------------------------------------------------------- Le rire des mouettes qui mangent le centre de la mer opaque et magnifique sous ses rachitiques oripeaux - de chaudes larmes telles rencontrent l’amer posthume égard qu’on soulève au regard du souvenir qu’on élève au passé du pain rassis des mégots étoilés des flaques d’o contre la peau violette et rabide de l’amitié iiiiiiiiiiiiii - Chante pour moi oiseau de proie chante le spasme qu’un lent navire est mort et qu’on devrait compter les passagers d’orgie en séduction vers l’insouciance de la pauvre mort si seule sur la mer qui n’a jamais été aussi près d’être mangée - - - - - - Nous avons festoyé La même table qui nous séparait Le verre que nous abîmions ô cogne cognait cogne grrrrrrrr- ! - Et rit- ! La température ambiante avait de quoi S U FF I R E - Maudites conjonctions d’avoir été amis admis dans le jardin pestiférés où nous serions trahis - Mais menteur tu me reconnais J’ai le même œil, les mêmes dents et je suis toujours aussi pauvre Avide de ton testament - Ô mon sinistre amant Vésicule d’eunuque - - - - - - A force de manger, vous vous rendrez fiévreux Vous vous rendrez à nous qui avons dit aimer Vos aliments de paille et instincts et stupeur Logiquement on vous a cru dicibles- : vous étiez Diffamatoires, oui – ou insalubres parmi nous Qui étions propres pour avoir été – trahis Chacune de vos dents nous animait- : vous y comprendriez Si peu, par force, un chemin de déglutition Abreuverait le mot de l’incompréhension De ce qui prête à chacun sa raison, et folie et meurtre Ô chatte engloutie sous le désespoir Et le ruisseau des grandes gens Espacées en ventilations et ventricules Chimère insatiable mais surannée ou austère J’avais compris bien avant vous – - - - - - - A force du déluge insatiable des mots Ou d’avoir été séparés Dans l’incompréhension (cependant que tout reste comme à ce moment lui-même – dépassé ))))))))) - Le tiers obscur qui était le chacun défunt Gros et rivage et dont la pose malchanceuse était--------------------------------------------------- d’avoir été O apparent Omis avec oralité - Silence qu’à présent le deuil c’est toi en moi je crois - Et puisqu’il y eut amitié (défaillie certes jusqu’au plaidoyer rougeâtre de ce ver de terre qu’on est resté RESSUSCITE ô IGNIFUGE ô CENTRIFUGE - Qu’on admette avoir eu besoin d’aide fut le crime Sera puni- !!!!!!!! - - - - - Du sucre- ! Du sucre pour mes intestins mes modestes moyens mon sort de châtelain est enfermé avec le deuil de l’ostréiculteur (mais allez le lui dire !) - Ce qui n’est pas reconnaissant n’est pas non plus reconnaissable tout est haïssable figure imprimée ou pureté du sable de l’érable --------------- fable --------------------------- ablablablablablablablation - - - - - - Mélancolie et mécanisme sont leurs frères Ils ne savent pas ce qui les a rendu si vifs Ils jaunissent à vue d’œil, DAS IST EIN KLAUG DAS IST MEIN OFFERUNG UND DER-DIE-DEN-DAS ZEIT IST TOTOTOTOTOTOTOTTTT iiiii vil, moi, autre, eh bien aussi je sais que ce qui est n’a pas de vraie identité ou d’ivraie ou d’ivresse mais se jette sur des rails désaffectés - - - - Ce qui génère ixi un processus de la distanciation Car la distance est effective et qui réside dans ma poche avec une lourdeur à nul pareil et pourtant nulle en soi mais si limpide c’est la distanciation qui existait en soi et qui n’a plus vomi que dans la fiction d’une discrépance avec le corps du sort entraîné dans un corridor de rivalité intestine et non l’écho (qui n’est en soi qu’écho) et surtout pas le COS - - LA CHALEUR A DICTE A LA VAPEUR SON INSULTE MOTRICE DEGENERESCENTE OU UNE PANTOMIME QUI NE SE RECONNAÎT PAS CAR SA FÉMINITÉ EST MORTE ET UN INSECTE - Pluie de la véracité qui a à un moment plus que moi de quoi être HAÏE ET BRISÉE en mille factions concubines - Petites larves, la méconnaissance à mon chevet bzzzzz bzzzzzzz iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii --------- - - Idnée / -----/ ------- --- Gednet ved biyos dann ----------------------I Ko kmaltady, vadli sen skreyodia ------- I Isren, an iserenam - unwerteben ----------------- I Gocil---------------.--------------------------no (en Dné id vosdam---------- - touska tné ya - I prenn, de / knedu / viyalten------- .----- p-------------------------iln Shervednodlim skeyat, chtorastalsnoh-------- -en) o - - - - - C’est la synthèse qu’on émonde / avec immonde - L’idéal a franchi le pavé Mais le pavé a fui, n’est resté que son puits Et de l’eau, marâtre dans sa bouillaison Luisance... Hectilère de flacons leçonnant (m’a menti) Et son reg, mermila sous un roseau rival De rideau déchiré des chéières Non et plis et le vent - "questo réni katèle Ko bin menni steget hid konat siglade" - Ernen dept gideln devireft Un digdert bept epten - Egnis gal, ertne dnie Sowayos un agmar - istiya : ko tné sti bivayolnb - - |
Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs | [Contact e-mail] |