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Article publié le 14 juin 2020. oOo Mercuriale au talon dans les herbes, rosée Abattue d’un regard : le tien-, et des ponts Qui font des enjambées cruciales-, scieries De l’absence et du temps ébruitant la contrée Avec les angles morts qui flashent : telle épaule Et l’empan d’un adieu ; la civière des eaux Emporte le parbleu du ciel qui se déloque Sens dessus dessous montrant ses falbalas Au ferry des éclairs, idyllant aux silex A des odeurs de chair contre chair-, et ces bleus Sous le horion du vent : car ce sont des cinglons Ces douceurs de traverse qui damnent et niellent Tout le paysage, ce partout de toi Qui déchire. Et la mer en cure dans tes yeux. (ce partout de toi 5/3/05) |
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