|
Navigation | ||
Génèse des séries
Dire d’Irpli - Variables du repli - Chantier 18
[E-mail] Article publié le 23 septembre 2018. oOo Le dire d’Irpli, c’est tout d’abord une série. Ce qui engendre des bizarreries telles que celle-ci, qui n’a duré que le temps de détruire la carte-son d’un ordinateur portable, peut-être deux ou trois semaines. L’IGNOTRON RIGOLO Mais cette séquence dodécaphonique barbare n’était que la troisième introduction au néantisme particulier de l’ignotron, il faut bien le dire. Il y a eu des dessins aussi. Si l’on peut parler de dessin... J’aurais plutôt dit des griffons, autrefois. Mais ce ne sont pas non plus des griffons car le feutre ne permet pas cela. Sans le risque de percer la feuille (ou la paume de la main), il ne saurait y avoir de griffon en effet. Le dire d’Irpli se cristallise dans une série, donc. Une série dodécaphonique dont la forme primitive serait : sol - sib - ré - do - mib - fa# - si - fa - la - do# - mi – sol#. Cette série a principalement été utilisée dans une configuration très rudimentaire – instruments et voix enregistrés en direct sur la prise micro de l’ordinateur, puis sur la prise casque quand le micro a cessé de répondre ; transformations brutal du son initialement obtenu ; mélange des sources, des séquences, etc. Il serait tentant de penser que le dire d’Irpli se situe en-deçà ou au-delà de la parole articulée. Ce n’est pas tout à fait vrai. |
Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs | [Contact e-mail] |