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Article publié le 4 décembre 2006. oOo J’allai à Paris, assoiffée Et je faillis mourir, tellement j’avais soif. Mais c’est peut- être parce que je brûle dans mon feu, Que je mourus et renaquis à Paris, accrochée à la vie, au gré du vent, obstinée comme l’aurore. Paris, que j’aime tant. J’aime sa dignité de fleur sauvage et sa fierté d’aurore. Mes pas dans ses rues ne furent point des pas Mais des traces, un sillon, une interrogation, une confiance, et ces yeux-là. Et Paris me fit resurgir, verdoyante.
Mon livre « Soif » devait avoir quatre présentations. Mais le hasard ne m’en permit qu’une.
Ce fut en 2005. En 2006 je n’avais prévu qu’écrire mon prochain recueil mais le hasard tient ma main et je présente « Soif » au gré du vent à mon Paris si aimé.
Cristina Castello
Voici quelques-uns de ces poèmes-là, assoiffés : |
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