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Article publié le 26 février 2017. oOo L’apothéose avait jailli pour disparaitre toute. L’air édifie une volte-face comme un cube où s’engagent des identités autres à incarner. Des arbres en viennent aux mains nos pensées et tout cet attelage dont nous conversions hier devant un blanc. Les mots ont leur enfance c’est de l’eau qui coule et tout un édifice de contradictions et qui est la vitesse et son jeu de tarots. L’automne bouge un peu dans ce que l’on écrit qui nous lie au matin.Et tous ses accidents pour nous mener plus loin ou à une autre peine et son imprimatur dans le bas du nuage et sa douce invasion non formulée qui vient dans nos propres paroles.Ce tapage blanc.
…et le déssavoir est en/petites coupures par myriades, investigations ou pire, amours et /je n’en sais rien. Et pourtant, cela me concerne. Andrea Zanzotto (trad : Philippe di Meo) |
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