|
Navigation | ||
[E-mail]
Article publié le 22 mai 2016. oOo Assis sur sa malle. Et autour les manufactures de secrétaires ‘très variées mais anguleuses’ au parfum débraillé du safari dont elles font l’objet.
Superbes îlots d’enrouements la vitesse des arbres et l’étole des murs dans la mer des machines pleines de curées.
Laisser le hasard hors champ pour faire un sprint de sommier éveillé dans la Cadix de Pline où tapinent en joie les sirènes.
Carnet blanc
où s’exalter aussi comme un os au soleil. Le hasard s’est levé qui sent sa vieille envie de se pérégriner ‘de la pinède au faune’ émetteur de fibrilles lentes ou rapides se sent comme ‘un fantôme occidental actif’.
Sa malle est pleine à bloc ‘d’environs à saisir’ entre les parenthèses livrées en segment sexuel acclimaté au maryland où s’ébroue l’otarie du sang.
S’enfonce profondément dans la surface aux jambes de clairon et se penche sur sa lessive lexicale dont la pointe sèche ameute les dauphins qui cousent le flot et l’écume à l’enclume
et la Ruade Majuscule d’Hokusai à l’immanence obtuse du rhinocéros gravé par Albrecht Dürer.
Il ouvre le livre, repasse ce qui vient et s’en va.
José Lezama Lima |
Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs | [Contact e-mail] |