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Confession d'un fonctionnaire au service de la folie
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 Article publié le 22 janvier 2017.

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« Hey Jonasse ! T’écris toujours ? »

Soixante balais qu’il avait, Jonasse. Chauve comme un labour. Avec des sillons qu’il abreuvait pas de sang parce qu’il aimait la terre. Il avait même chié sur le drapeau national un jour de deuil. Deux ans après, il était de retour. Changé, ah ça oui ! Trente kilos en rabe. Et c’était pas d’être bien nourri. La chimie lui avait dérangé tout le système. Mais à part ça, il avait conservé sa tête. Deux ans chez les fous et il avait rien perdu de sa gamberge. Comme il avait plus de slips, je l’ai amené en ville pour en acheter des comme ils font maintenant. Le bide lui pendait sur les cuisses. Et il avait les seins à la hauteur du nombril, si ce trou qu’on voyait au milieu était le nombril et pas autre chose comme ils en font dans ces endroits secrets de la justice. Enfin, il avait tué personne. Juste chié sur un drapeau qui s’était illustré dans le crime colonial et la collaboration avec l’ennemi. Ouais, il écrivait toujours. Il avait écrit au bout d’un an de captivité. Permission accordée par l’autorité en place. Un cahier et ces crayons de cire qui avaient transformé son écriture si fine et si distinguée en grosses lettres capitales qui descendaient le long des lignes imaginaires de son inspiration. Il arrivait plus à retrouver sa dimension et son allure d’avant qu’il plonge dans cet univers contrôlé par les institutions et autres associations de malfaiteurs. Pourtant, il avait pas eu besoin de beaucoup fouiller dans son secrétaire Louis XVI en toc. Sa plume était en état de continuer le labeur là où il l’avait abandonné. Et il avait ramené ses cahiers de la maison des fous. Charitablement, j’ai accepté de tout recopier à la machine, qu’ils en font maintenant que t’as pas besoin de tout refaire quand t’as foiré. Il est venu le lendemain qu’on avait acheté les slips. Il s’y habituait pas. Il avait vécu deux ans le cul à l’air. Il se laissait torcher au début. Ça l’humiliait pas. Et puis il avait échangé ce geste simple contre le premier cahier et un bâton de cire.

« Vous voulez que j’écrive avec ça ! s’était-il étonné.

— Nous, on veut rien ! s’était exclamé le toubib. Mais si vous vous le foutez dans le cul, on reprend le cahier et on vous torche plus.

— Bon ben pisque que j’ai pas l’choix… »

C’était tout Jonasse, ça : le choix. Il prononçait chou-axe. C’était à cause de ses prononciations qu’il passait pour un débile mental. La présidente du tribunal l’avait fait parler et elle avait eu du mal à entraver le propos pourtant cohérent de ce poète non reconnu par la société organisée autour de la langue en question. Après avoir regardé d’un air dégoûté la photo du drapeau conchié, elle avait pas demandé à voir l’original. Et Jonasse n’arrêtait pas de gueuler que c’était une œuvre d’art et qu’on avait pas le droit de la confisquer ni même d’en penser quelque chose.

« Il est pas à vous, ce drapeau ! rugit la présidente.

— Et comment qu’il est à moi ! À la Foir’fouille que je l’ai acheté. Et avec mes sous. Vous voulez voir la facture. Je conserve toujours les factures. Dans cette putain de société facho-libérale, il faut tenir sa comptabilité. Vous voulez la voir ma comptabilité ?

— Et pourquoi pas un drapeau américain ? » s’égosilla la présidente.

Elle jeta un regard désespéré à ses sous-fifres qui étaient occupés à lancer des SMS. Mais elle se reprit en montrant ses dents :

« …ou espagnol… ou anglais… je sais pas moi… le monde est vaste…

— Il assez petit pour que j’ai envie d’en parler, » avait prophétisé Jonasse en mesurant la prosodie de sa propre langue.

La première fois qu’il parlait en français. Ça a paralysé la salle qui était venue aussi pour se faire enguirlander par la justice. Mais la présidente attendait une réponse :

« Je vous écoute… fit-elle comme si elle avait jamais fait de mal à personne.

— J’avé le chou-axe, dit sentencieusement Jonasse. Alorsse, jé chou-Asie. »

Deux heures après, il était ligoté sur un lit et on lui injectait les premiers litres d’un traitement expérimental qui avait fait ses preuves sous Pétain. Ah il avait une de ces envies de raconter ça ! Et il écrirait en français. Avec sa vieille plume. Mais avant, il avait besoin de relire tout ce qu’il avait écrit dans ses cahiers de la maison des fous. J’y ai travaillé plus d’un mois, pendant mes loisirs de travailleur territorial. Il m’en demandait des nouvelles tous les jours. Ne croyez pas qu’il sortait ou qu’on se revoyait chez Antoinette. Il sortait plus. Il avait perdu l’habitude de sortir. Alors il mettait le nez à la fenêtre et le voisinage changeait de trottoir des fois qu’il lui prenne l’envie de chier avec les petits oiseaux. Il en avait parlé dans un de ses poèmes localement assez connu.

Quand je chie ô maman

C’est avec les p’tits oiseaux.

Car tu vois, de là-haut,

On voit pas passer le temps.

Genre Renaud quoi. Ça volait haut. Mais je me rappelle plus l’air. Bref, au bout d’un mois, j’avais tapé tout le contenu des cahiers. Trois pages bien remplies. Et j’avais tout lu. Pas tout compris. Parce que ça volait haut quelquefois. Et même souvent. Il restait plus qu’à revoir l’orthographe. Je me souviens que Jonasse était assis près de la fenêtre dans son vieux fauteuil d’osier. Le manuscrit reposait sur ses genoux. Il tenait une feuille entre ses doigts boudinés et ses lèvres remuaient sans qu’aucun son ne sorte de sa bouche. Ensuite, une fois lue, il mettait la feuille sous le paquet et, après s’être abondamment humecté les doigts, il élevait celle qui se trouvait dessus. Trois cents qu’y en avait ! Je pouvais pas attendre aussi longtemps. À huit heures du soir, il en était à la dixième à peine. Antoinette était en train de tomber le rideau. Elle avait déjà rentré tables et chaises. La rue était noire.

« Dis donc, Jonasse, murmurai-je parce que je me méfiais de la colère des fous, là, faut que je rentre. Sinon Bobonne va me passer un savon…

— J’avais oublié que tu avais vendu ton âme à la nation… je crois que je vais lire toute la nuit. Tu as fait tellement de fautes de frappe que j’ai du mal à comprendre ce que j’ai voulu dire. Tu connais pas une bonne dactylo ? Pas trop rompue…

— Ya Nénette qui vient d’entrer à la municipalité… J’y parlerais demain au goûter…

— Elles sont comment ses guiboles ?

— Ah… Je l’ai jamais vue sous cet angle… Mais je regarderai demain…

— Et les nichons ?

— J’estimerai, Jonasse, j’estimerai…

— Les femmes sont des objets. Sans elles, on n’aurait pas tous ces problèmes avec les morts. »

Autant vous dire que ce soir-là, j’ai pas embêté Bobonne. Elle en a été tout étonnée. Elle a même supporté mon haleine sans commentaires. Dans quoi j’avais mis les pieds ? Ah j’ai le cœur du bon côté ! Et il bat pas que pour battre. J’ai des sentiments et des idées juste ce qu’il faut pour m’attirer les emmerdements. Qu’est-ce que je lui devais à Jonasse ? Rien. Tout le monde me le disait. Bon, d’accord… l’idée de chier sur le drapeau était de moi. Je vous raconte.

Je suis allé à la Foir’fouille pour m’acheter un coupe-ongle. Et que je vois dans une allée multicolore si c’est pas ce crétin de Jonasse qui se prend pour Brassens ! Il est là sans bouger un cil devant un étalage de drapeaux grandeur nature. Ah mais c’est qu’on dirait qu’il hésite, le rimailleur !

« Ah dis donc, Jonasse ! Me dis pas que t’es devenu patriote !

— Que non ! T’imagines ! Je me renseigne, c’est tout. Que j’en connais pas la moitié. Ah ! Ya pas à dire, mais le plus beau, c’est l’US. Le nôtre, on dirait un pyjama.

— Yen a plein qui sont morts sacrifiés pour le porter, l’ami !

— Ah je vais m’en offrir un, tiens !

— God Save Ze Queen !

 — Que non ! C’est le nôtre que je veux.

— Pour faire un pyjama ? T’iras au foot rien que pour pioncer !

— Je sais bien ce que je vais en faire…

— Te torcher avec, ouais ! »

Trois jours après, on déterrait les morts du monument pour les remettre dedans une fois l’émotion passée. Ça fait toujours plaisir de savoir qu’on peut mourir pour de bonnes raisons dont on profitera pas. J’étais là avec la délégation des services municipaux. Pas fier d’être con, mais le menton haut levé. J’avais pas l’intention de me rendre complice en regardant comment qu’on fait pour rendre hommage. Mais voilà qu’un cri fait taire tout le monde, y compris ceux qu’on rien à dire en pareilles circonstances parce qu’ils sont encore en stage citoyen. Du coup, j’ai arrêté de regarder les oiseaux chier dans l’air glacial de ce novembre prometteur d’autres désagréments patriotiques. Et je vois un drapeau courir à toute berzingue dans le champ d’honneur. Un drapeau avec des jambes et une tête qui était celle de Jonasse. Il avait déjà mauvaise réputation. En fait, il a commencé à chier très jeune. Et à faire chier. Ils ont fini par le coincer dans les chiottes municipales où il s’était réfugié parce que tout le reste était fermé ou bien gardé. Il en est ressorti à poil sans son pyjama. Un type à moitié en uniforme avec des médailles plein le sein le transportait au bout d’un bâton qui devait être le manche d’un balai. Et un autre pas moins excité par le devoir de mémoire poussait Jonasse avec un autre balai. On a plein de balais dans les chiottes municipales, des fois qu’on ait envie de travailler.

Les gendarmes sont arrivés sans se presser. Ils étaient déjà là, mais en marge, pour surveiller les terroristes. Ils se sont avancés prudemment sur le gazon du monument aux morts, l’arme au poing et l’œil larmoyant. Jonasse était crucifié dans le dos de la patrie pour qu’on le voie pas. Il était tellement entouré qu’on pouvait pas s’approcher. Et la patrie montrait toujours le clocher de l’église, l’autre main sur le corps d’un poilu qui tenait à son fusil comme si c’était son enfant. De temps en temps, le pyjama tricolore apparaissait. En fait, chaque fois qu’on demandait à la voir, le type qui le portait au bout de son balai l’élevait dans l’air sacré du champ d’honneur, aussitôt grondé par la voix d’un gradé qui s’allumait depuis ce matin pour avoir l’air d’un sapin. Je me suis senti tellement coupable que je suis rentré chez moi. Il était pas midi. Et j’avais une bonne raison de manquer le rendez-vous chez Antoinette qui avait sorti toutes ses tables malgré la froidure. Bobonne m’a pas posé de question. D’après elle, j’étais encore jaloux. Comme si j’en avais envie, d’une médaille ! Ah j’avais le crâne douloureux ! Et si Jonasse parlait ? Lui, vous en êtes hélas témoins, il avait eu que l’idée du pyjama. C’est pas une mauvaise idée. Bon, on a pas idée de se promener en pyjama tricolore un jour de mémoire que c’est obligé d’en avoir sinon on se fait mal voir de la hiérarchie. Dites pas le contraire. Mais de chier dedans ? Qui c’est l’auteur ? Je n’vous l’fait pas dire ! Certes, Jonasse en avait rajouté. Et il en avait trouvé des tas, de merdes, sur les trottoirs de notre ville déjà maintes fois sacrifiée aux intérêts de l’État. Des merdes de chiens et de vieux qui se sont oubliés plutôt que d’aller vite. Un vrai merdier ! Une foire de merde ! Et jusqu’au cou que j’en avais sur la conscience !

Aussi, quand Jonasse est rentré après deux ans d’enfermement pour son bien, j’ai voulu payer moi aussi. Ça l’a pas surpris que je me propose de taper ses cahiers de la maison des fous. J’avais soigné. Et même corrigé des fautes. Il aurait dû être content du résultat. Mais d’après lui, qu’il m’a dit avant que je le quitte ce soir-là, c’était pas parfait. Il faut dire que c’était l’œuvre de sa vie. Et j’y étais pour quelque chose. J’avais participé aux motifs de son enfermement, certes, mais pour de bonnes raisons que je connaissais pas avant de les dactylographier. J’étais pas auteur, mais j’avais ma part de responsabilité. Et même deux parts comme vous voyez. Bobonne, si j’y avais expliqué, elle aurait pas compris ni le quart de la moitié du dixième de ce qui se jouait entre Jonasse et moi. Aussi, j’y ai rien expliqué. Je me suis couché sans rien demander. Et elle a rien demandé non plus. On était quitte.

Si j’ai dormi cette nuit-là ? J’ai appris à rêver. Et j’ai pas eu besoin de me réveiller à l’heure de m’attifer pour me présenter au boulot. Toute la journée que j’y ai pensé, au pyjama de Jonasse. Et tout le monde en parlait. Mais rien n’avait filtré de la garde à vue. Et donc je savais pas si Jonasse avait parlé pour tout dire. Ça lui arrivait des fois, comme à tout le monde. Mais en principe, quand on dit pas tout, c’est pour nous qu’on travaille, pas pour un autre qui a ajouté une couche à une idée qu’en était une à la con. Vous voyez de qui je veux parler… Alors la question était de savoir si Jonasse allait finir en prison pour être déchu de ses droits ou si on était en train de discuter de son internement pour que ça lui passe et qu’il arrête de troubler la solennité des rituels nationaux. On me demandait mon avis. C’était sans intention de me faire tomber moi aussi, car personne n’avait assisté à la conversation que j’avais conclue à la Foir’fouille, plantant une graine de déchéance dans le terreau déjà cultivé de mon ami poète. Mais j’arrivais pas à me décider. Car il y avait une troisième option. Et je me voyais pas subissant une dégradation exemplaire sur le parvis de la mairie. J’étais déjà un lâche. Pourquoi ne pas continuer sur la voie du service public ? Je gagnais bien ma vie après tout. Et Bobonne s’y connaissait, en atouts. Elle me récompensait à ma juste valeur.

Je vous dis pas les deux ans que j’ai passés. Ya pas eu de procès. Jonasse a disparu des conversations. Je devais être le seul à y penser. Mais pourquoi que j’y allais pas à la maison des fous ? Elle était pas si loin que ça. En plus, y avait une ligne directe. Mais je voulais pas être vu. Jonasse n’avait pas tout dit. Il méritait que je me jette à ses pieds pour lui baiser les genoux. Moi, c’est ce que j’aurais exigé de lui si j’avais été à sa place. Non… en vérité, j’aurais tout dit. Et il aurait plongé avec moi. Dans l’enfer des prisons réservées aux déchéances nationales. Des années que ça aurait duré. Et après ? Ah Jonasse était plus prévoyant. Il ménageait sa sortie en même temps que ma réputation. Deux ans, c’est pas long quand on pense à ce que ça aurait pu être s’il avait parlé de notre petite conversation. Depuis, je me mords la langue avant de déconner. On me trouve moins loquace. Mais on sait pas depuis quand. On se souvient pas du jour où j’ai cessé de déconner. Moi qui déconnais sans mesure ! Ah si j’avais été une personnalité, on se serait posé la question avec méthode. Et on aurait fini par mettre en relation le jour où j’ai arrêté de déconner et celui où Jonasse a déconné à ma place. Et j’aurais eu honte d’avoir poussé un débile mental à déconner à ma place. Non… une personnalité n’éprouve pas ce genre de sentiment. Il faut être un minable comme moi pour s’en faire à ce point au sujet de quelque chose que personne ne sait. Voilà comment que je les ai vécues, ces deux années.

Jonasse, lui, à part l’étourdissement constant provoqué par le traitement, s’en était pas trop mal tiré. Il avait l’air jovial maintenant avec ses grosses joues et son cou de bœuf miroton. En prime, il avait écrit pendant un an tout entier. Et pas que des conneries. Ça tenait tellement debout que j’en comprenais facilement au moins la moitié. Et ce matin-là, le lendemain du soir où je l’avais laissé dans son fauteuil d’osier avec le manuscrit sur les genoux, j’étais sur le point de tout avouer à la nation entière. J’avais besoin d’une confession. Mais à qui parler quand on est rien ? Ya longtemps que je parle plus à Dieu. Il m’arrive de l’entendre, mais comme il me demande rien, je fais comme si j’avais rien entendu. Ma vie, c’est le bureau, les copains, Bobonne et les vacances. En attendant la retraite. Mais depuis deux ans, je dois compter aussi avec Jonasse. Un type que je connaissais sans qu’il exerce aucune influence sur mon existence. Une tuile. Tombée du ciel peut-être. En réponse à ma sourde oreille. Qui sait ? Et donc ce matin-là, je fais pas comme les autres et je passe sous la fenêtre de Jonasse. Et qu’est-ce qui me tombe sur la tête ? Ah le salaud ! Je monte !

« Non mais pourquoi moi ? que je hurle déjà dans l’escalier. Ya des choses qu’on peut régler d’homme à homme. Mais t’as peut-être pas ce qu’il faut entre les jambes, hé capon ! »

La porte est ouverte. Jonasse est dans son fauteuil. Le manuscrit est éparpillé par terre. Il a la tête penchée sur la poitrine. Le docteur est là, gris comme un cierge. Ya aussi quelqu’un que je connais pas. Jonasse est mort. Il a pas souffert. Il s’est éteint en dormant. Mais que je m’inquiète pas pour le manuscrit.

« Je sais bien, que je grogne. J’ai numéroté les pages !

— Non, susurre le docteur. Je disais ça pour le désordre. Vous allez croire que monsieur Jonasse l’a causé au cours d’une crise de nerfs. Mais ce n’est pas le cas. Le manuscrit est tombé par terre parce qu’il ne le tenait plus. Il s’est éparpillé, comme vous voyez. Et le vent a fait le reste. Il y a eu du vent cette nuit. La fenêtre était ouverte. Et vous êtes sorti sans fermer la porte… si je ne m’abuse…

— Je le reconnais, messieurs ! Et je n’en ai pas honte ! Mais qui peut me dire qui m’a chié dessus si Jonasse était déjà mort ? En voilà une question à laquelle je vous somme de répondre !

— C’est le monsieur que voici qui l’a fait, dit le docteur.

— Et vous êtes qui, si ne n’est pas trop vous demander, monsieur qui chiez sur la tête des passants ? »

 

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