|
Navigation | ||
[E-mail]
Article publié le 18 octobre 2015. oOo (rien qu’un paysage de fortune)
Pierres toutes neuves de pluie au logis d’un genou banquette un lézard affolé tout un concile de petits sarcophages furibonds pour un sens qui se perd dans une terre ébouriffée
pierres neuves de pluie serrée et l’éclaircie
caresse le genou chauffe l’écu du ciel de petits sloops de guerre en radoub parmi l’herbe aquarium
sur les bolides de la peau pagode mouillée de lézards vers le vert tout un sérail de failles
où les doigts se conjuguent où dort le cerf-volant des entrées du non-sens
découvrent les interjections son jeu de paume ébouriffée à tue-tête et conciliaire des petits sarcophages tout vifs d’aporie serre sa peau se gaine l’oreille de vue
pierres toutes neuves de l’âge de pierres leur arborescence de genou fait le doigté assis serré dans le sens où la plaie se caresse dans le cantabile de sa chemise de pluie retroussée
où les doigts se conjuguent assis entre les coudes
où dort le cerf-volant des entrées du non-sens grince l’huis caressant d’une paume mouillée un genou miroitant
( Antrôn la rocheuse, souveraine des saisons) HYMNES HOMÉRIQUES |
Revue d'Art et de Littérature, Musique - Espaces d'auteurs | [Contact e-mail] |