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Article publié le 1er octobre 2015. oOo « Il est des pertes qui confèrent à l’âme une sublimité
« Parmi les indices qui marquent les époques de mutation,
il faut prendre en compte, en même temps que les remises en cause de l’image du cosmos, ou des structures politico-religieuses, le malaise qu’éprouve un nombre croissant
« j’en sais rien,
O.
Inutile de dire quoi que ce soit. Ou d’attendre l’Evenement. Cela va de … (chut !)
Nous parlons dans cet ouvrage, (oui, c’est abrupt) cela va ... dépendre : de la magie mensuratrice.
Faire fête à ce monde / comme les cérémonies épuisent.
Réfugiés d’époque, nous convoquons quelque fragments - les dieux susceptibles de faire pousser les ailes qui nous (manquent).
Répudiés du temps, nous combattons quelques éclats - mètres ou liants susceptibles autant que protégés dans l’universel(le) (clinique).
Une im-politique qui nous sorte de toute police------------ pensée en terme d’essence, d’être ou d’action. Rien que ça - l’équinoxe.
Du « théologico-politique » lourdingue, fuir lentement la tautologie publicitaire (toujours loupée) comme les mots injectés par l’industriel mensonge.
Nous parlons de rêve en fait, toujours éclate ce matin------------- et pour l’écrire simplement : évoque la nécessité, locale,------ au cas par cas, de dire « eux », ceux qui nous rendent la vie (im)possible sur Terre, … puis ... transmuter le geste. Vers un nous inouï. Un câlin silencieux.
A faire, comme toujours déjà là.
I.
O dieux, ces hôtes fugitifs, … qui avez déserté, … depuis toujours, cet aujourd’hui débordant
Vous revenez comme tels, en force d’exilés,----------- au milieu des eaux troubles et des chouettes horlogées, dans la plénitude de vos charmes
Idoles ancrées, depuis ce fond dont tout jaillit
Divines blessures, nacrées, grâce mue par le silence des hommes et le feu du ciel,---------- nous désertons à notre tour.
crapauds et princesses cuirs et tendresses.
Enormes dieux à triple face, vous qui advenez,------- envoûtants et terrifiants...------- vous disparaissez peu à peu dans l’entre-là des gestes que nous tentons de réapprendre – à convoquer Vos faveurs gisent dans l’éclat, blanc, l’épiphanie ou l’évidence : de la fin d’un monde.
Edifice ou musée qui se dissout dans la poussière des gravats, alors que la façade demeure intacte, pour les visites extra-terrestres.
Un matin, nous regardons : les fenêtres comme il fallut creuser le cadre en retours ...
Theophile, ben alors toi ! Salut ! Que nous dis-tu ?
RIEN de nouveau ? Et pourtant... de cette chambre ..
On voit des trucs … :
Milieu de quelque chose dans l’ire d’un événement,------------- ce quelque chose entendu, qui habite le commun :
Naine, notre présence, celle
Et qui frappe de loin.
Sévère, dansante, offre à nos sens une configuration sensible qui nous est tombé dessus.
Nous admettons ? Une Révolution ? Bue ? Vers l’a-fric.------------------------- (Chic alors !)
Un ébranlement puisant en homéo si elle, antéphalliquement depuis le fatras esthésique,---------------------- d’où le rien perce outre identité. dans l’imagination, pour l’imagination
Olfactive
Un nid d’aigle perché sur les falaises, Un serpent pourpre louvoyant dans la poussière.
Ici je me considère comme un invité.
---------------------------------- W
Au bout de mon intatiété Redescendre à l’envers de la première strate : voir les massacres carbonisés, les viols porteurs de chaos et le plomb dans l’aile patriarcale de l’immonde capitale.
Emondant l’île, ta …
Lions, dragons, oiseaux, griffons, lézards de naguère ! -
Idiots ! vous fûtes démonisés. Désormais, comme si
nous en savons assez, et ce
Sans parti pris : c’est écrit dans la DS de nos enfants.
(Gâtés ? Nougat ! : réel) II.
Accablés par la brutalité bleue, cette moderne crainte de l’expérience amoureuse, c’est le nous-autres que nous réveillons.
Lis cette carapace à fleur de peau !
Né en ce monde, je confirme ces heurts sombres en saignantes pensées.
D’extinction, la passion de soi. Du désir, intensifié. En position de l’un, il y va du zéro de tous les pays.
Un monde imaginal, torturé, alambiqué, vit cet instant. Et crie comme on silence.
O/+ ...+/O … O/+
Alors dis : eux ! -, nymphe frémissante, et puis mange ta bouche dans les interstices du théâtre hurlant devant les yeux de quiconque où résonnent
Nous nous enveloppons d’oripeaux inédits – d’a-matières interdites- et nous approchons du foyer, défigurés. Quelques mètres – et barder le cheval
Dans la nudité et la misère de sa chère masure. Hanté bien sûr – (plusieurs) vers III.
Bateaux en leur pénultième valse,----------------------- nous parlons depuis un fond de cale résolu
présent qui se tient immobile sur le seuil du temps comme chaque un
A gué, une incroyable volupté émerge dans les pueblos locaux : nous n’opposons plus, comme un mal d’aurore, l’exubérance du monstrueux à l’ordre probe et obtus, mais déployons nos monstres depuis l’intérieur de l’ordre même.
Depuis l’Hors-imperium
Art subtil de prendre un char à la lettre et de pousser l’extrême en une métastable équitation.
Art du souvenir – de la gratuité des poissons.
« Tous » n’est pas « un » mais de l’injuste. Un possible se tisse sur le vide, le néant parti
Art ouvrier de l’ouverture des noms.
Oralité précédant la lettre qui opère les procès de libération
Les personnes ont fini leurs temps sur terre, (si on quoi ?) il fait beau et le coup d’ailes l’emporte sur la bave de rat
Hibou – un port de brume et l’océan qui ne fume plus – les grains de sables enrayent ces vaines noirceurs
Remonter alors vers ce qui demeure, on déplace des buts et j’en perd ma culture, nous
Le cristal de roche en corps diamant, allume ici, la rangée de bouleaux pour l’hôte à plumes
Musique des vieilles légendes, en vol
Rougeur matinale dans le ciel.
La haute expérience - montagnes, et les tentatives pour l’exprimer.
Tréfonds, de la Terre, un champ dit : tumulte et alcyon.
L’absurde guerre nous a galvanisés.
Circuler - gouttes d’élixir : il y a tout à voir depuis le retrait du dernier glacier.
Chasser, avec révérence solaire, entre belle et nue.
Recommencer – linges de terre loin des espaces d’inscription inhabitables.
Continuer de grimper cette existentielle géologie - des choses par le monde, grand récit en prises télépathes
Lire les inédites écritures encloses dans les pierres à venir. Ecrire, géographe, le conte invisible du monde (non du moi, non du mot).
Les temps peuvent exiger de s’affranchir du temps.
Cette ligne de rencontre entre deux éternités exténuées
Lier ensemble voyages, expériences, thèses - la crête du discours idéaliste se brise, quelque chose d’autre se présente dans les remous.
Semblant venir de l’est, il mène à l’est, avec tout le ciel comme terrasse, dans le champ de l’immémorial.
Tout l’être aux horizons de naufrage, vidange
Cérémonie partout
Accueille IV.
Du primat de la contradiction – Aïe ! sur l’identité
L’art du quart de tour, entre-baille l’art de porter la vrille, pique-nique et ... art de faire des passes
Autour du puits, écorce et noyau
Le chant du roseau chante les vertus de tes imperceptibles modulations
Hors de l’histoire
une meute désastrée, celle du tiers inclus drague le plastique brûlé que dix corps n’en peuvent plus de prier devant une promo
au supermarché Courbures sensibles, inflexions infimes et toutes-puissantes, profondes (oui !), et douces combinaisons du régulier irrégulier.
La statuaire accidentelle des rivages, l’architexte crée des liens qui libèrent le vocabulaire de la poussière.
La voix rencontre le vide, devient parole d’avant.
La main rencontre le vide : l’image vibre en
âges aimés sans nom, sel où micro et macro se joignent, desseins en affine dé-, calligraphies
Mettre en lumière (clairsemée, ténue, faible et intense) l’écriture de la Terre.
Découvrir les choses. Non des tableaux.
Que mettre à la place ? Rien.
Le royaume du rien. République réelle des choses.
Pertes, sublime, hauts cyprès noirs. Nous habitons, lanternes, dans la cire d’abeille
L’atopie a sa topologie, (nous l’aimons surtout dans sa glande)
En extase, convertir l’exil.
Atlantéens. Quatre dans la tire-lire ou l’arène aux lions.
Insensé d’actuel, aigu d’au cas par cas de désagrégations en dispersions
Course dans les confins, territoires inédits, aux horizons du non-être
Silencieux, à la santé de la serpe, nous regardons, pour trouver une langue de la réponse illimitée où les sourcières dansent
Contre l’Inquise cime juste grevé Bord de l’eau mis– dans son étrange lové V.
Haute //tectonique//, nos rêves, alors midi qui loue voit une caravane rose
on voudrait se désaltérer la conscience ?, laisser faire le marché alors que Lucie porte si bien son « e » ?
et Alors, ma cisaille ? sans larme, il se perd lui, dans le bassin sidéré du délivre bien
« Servez-vous, si ça vous chante ! » ; dit-elle le cœur au ventre, en palpant le pouls de la démesure du commun-résille en
rire d’accueil, de revenue, creusé dans les entrailles, nos abysses, s’en allant aux noces là dans l’un tendu, ce rien puissance de tout (Dévirginiser Marie) ce qui troue la haine des fêtes Vie se veut en nous-autres, l’eau-tréfond, l’analogue testament où se terre nos propriétés dissolvante
Cette ….ible (transpersonnel) quelque chose modifie le sens terrestre
Les épaules se détendent, l’âne devient un camarade
Il perd chapeau, trace sillon sans faire de mal au potager,
ses vers de terres
ses Bactéries
Anamorphose (Déchristianiser Jésus)
abaisser, c’est fini
Au levain, c’est des pains :
Seins .. des relèves
Chutes de rires titillés ... VI.
Oreille et / merveilleuse lecture, frustre, signe la fin de l’air putride et le retour – in extremis des divines prostituées
Rêves – Les sens, Monde et livres
Le gouvernement à pies dans nos poèmes résurgents, sources hantées d’un livre jouisseur aux fictions destituées
Des luges glissent, soniques, sauvages, et viennent déranger la station assise, de fond en comble - en l’incendie de croyance sans cédille
Nue
Debout, une femme s’étoile, impie
Corps débordé, aube arborée du trépas se remet à vibrer de toutes Ses Fibres
Déhanchées VII.
VOlonté d’absolu, cap-chose-tout, religion, tu portes la mort, comme la nuée porte l’orage, tu es face au fou rire du matin, l’œuf te contemple, liés à l’heure des montres annihilées
Des séismes, vertus, appel, rythme aux têtus débraillés, génie primordial, assoupli, nous sommes tombés dans notre corps et remontons, doucement, cette fraîcheur véritable
Ange sobre, ça sonne plus juste si tu caresses la cruauté de vouloir que les choses changent !
Dé-
ce qui vient, c’est l’air, des couleurs, saveurs, odeurs, joie du sentir, ralentir
Parle bas, O puis sans fond dans ta tête, les prothèses n’existent pas ici, en ces lieux terrassés
L’inouï, là, mémoire au galop
Irise la femelle du sanglier, moutonne en flaque, mais Elle …
L’ignorance crasse comme ombilic nimbé
noir et blanc sur fond d’azur
et puise le pont, la jarre, le verger, la fontaine
C’est le con, c’est densifié, corneille : la, l’une donne le ton juste
Cuidance et vie au lieu même de la sangler, on
en ce virage, cette pliure, nous rassembler, épousés dans la lessiveuse, on hérite d’une eau déjà bue
(développement ?)
regardons le négatif, faible, (in)fini comme l’épigénèse se démarque quand nous n’en finissons plus de nous comprendre
Le problème cesse d’être insoluble
* OI
Tags : ZAD, ACAB, ARC-EN-CIEL, EMEUTE, INGOUVERNABLE BEAUTE |
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