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Article publié le 22 février 2015. oOo Ils frôlent des barbelés comme les amoureux. Une rose est la chute amirale des chutes. Est la définition de la vie quand écrire. Quand voir est ouvrir l’œil sur sa propre paupière ce sont des aveugles. Ils tombent au parfum en croyant qu’ils y sont ce sont des quand-écrire. Touchent à leur ciel. Le bas du dos du ciel est leur chute de rien qu’ils écrivent ce sont lisez les quand-écrire. Ils frôlent les barbelés comme les ce qu’ils sont les ourlets de la jupe. Celle de la vie. Ne voient le mirador qu’au plus proche de l’œil son propre mirador. Les quand-écrire vont au risque de chuter divaguent sur un plat d’en faire tout un ciel. Sa mâchoire de cent visions et révisions avant le thé d’après. Les quand-écrire sont au thé du temps de tant de choses dites sur les choses qu’ils ont voulu dire. Soulevant et laissant retomber sur le plat la question son assiette. Déjà mauvais terme le plat et l’assiette brin de barbelé. Comme les amoureux frôlant les barbelés en suivant l’amirale des chutes la rose sont les quand-écrire. Les mains occupées des quand-écrire sont aux champs du possible des mots à glaner sur une lande vague la langue tirée comme les amoureux. Après c’est la douceur du thé quand la cuillère est l’amirale en main n’écrivant plus n’ont plus des mots que les derniers : un rose courant d’air. Les quand-écrire trouvent alors dans le thé des faînes de Judée.
Douce douce douce douce douce heure de thé.
Gertrude Stein |
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